24 centres de compétences à nouveau labellisés

Ce jeudi 12 novembre, le Gouvernement de Wallonie a réitéré sa confiance envers les Centres de compétences wallons.

Répartis sur tout le territoire wallon, les 24 Centres de compétence ont pour mission principale la formation professionnelle. Ils s’adressent à la fois aux demandeurs d’emploi et aux travailleurs mais également aux apprentis et au public – professeurs et élèves – de l’enseignement qualifiant.

Ainsi, le Gouvernement a décidé

1. De décerner le label « Centre de compétence » (avec effet rétroactif au 1er janvier 2020 et jusqu’au 31 décembre 2024) aux 19 Centres de compétence suivants : AutoFORM ; Cefochim ; ConstruForm Hainaut ; ConstruForm Liège ; Forem Environnement ; Epicuris, Forem FormAlim ; Forem Management & Commerce ; Forem Polygone de l’eau ; Forem Secteurs verts ; Technifutur ; TechnoCampus ; Techno.bel ; TechnocITé ; Technofutur TIC ; Forem Transport & Logistique Hainaut ; Forem Transport & Logistique Liège ; Forem Wallonie Bois et WAN.
2. De relabelliser provisoirement les 5 centres suivants : Cefoverre ; Forem Cepegra ; Design Innovation ; Forem Pigments ; Forem Tourisme. Ces centres seront conviés à un second processus d’évaluation.

Un rôle central pour l'emploi et le développement de notre Région

Chaque année, près de 111.000 personnes sont formées dans ces Centres de compétence, dans des filières pourvoyeuses d’emploi et d’avenir.

Outre la formation professionnelle, les Centres de compétence wallons sont également des lieux de veille technologique et de sensibilisation aux métiers d’aujourd’hui et de demain. Ils s’inscrivent pleinement d’une part, dans la dynamique des pôles de compétitivité et des domaines d’activités stratégiques, et d’autre part dans la concrétisation de la stratégie régionale de spécialisation intelligente et des domaines d’innovation stratégique.

Ils ont donc pour enjeu d’apporter, au travers de leurs missions, des réponses :

1. Aux besoins de main-d'oeuvre et de compétences identifiés sur le marché wallon : métiers en pénuries, fonctions critiques, métiers en demande, etc.
2. Aux besoins en compétences de demain : les évolutions technologiques, la digitalisation de la société et de l’économie, les enjeux environnementaux, l’émergence de nouveaux secteurs d'activités et de nouvelles pratiques professionnelles font apparaître de nouveaux besoins de compétences et poussent à la mise en oeuvre de politiques d'upskilling et de re-skilling des travailleurs en place ainsi que des nouveaux arrivants sur le marché de l'emploi.